Dans un communiqué de presse, elles demandent plus d’équité et de transparence pour une véritable pêche durable.
Le processus de l'UNFSS continue de susciter les critiques de la société civile
APPD Gabon-UE : Les eurodéputés demandent plus de transparence pour l'appui sectoriel et une approche de précaution pour la crevette profonde
L'APPD Gambie-UE : la transparence est nécessaire pour rendre la lutte contre la pêche INN efficace
Le pays d'Afrique de l'Ouest a acheté des équipements pour un Centre de Surveillance des Pêches grâce aux fonds de l’appui sectoriel de l’APPD. Les pêcheurs gambiens réclament plus de transparence, notamment la publication de la liste des licences de pêche, ce qui faciliterait la surveillance participative.
Les Français, les troisièmes plus grands consommateurs de produits de la mer en Europe, ne sont pas au courant des effets néfastes de l'aquaculture
GIO : Les parties prenantes demandent des processus décisionnels transparents et inclusifs
Le crabe de mangrove, un commerce lucratif qui trouble les eaux malgaches
Résumé du COFI34 : Une prise de conscience et plus d'intérêt pour la pêche artisanale
Règlement contrôle : Une plus grande transparence est nécessaire pour superviser les flottes de pêche externes de l'UE
La CAOPA demande un cadre plus durable et transparent pour les sociétés mixtes de pêche en Afrique
Après le Covid-19, les pêcheurs mauriciens sont maintenant coincés entre des eaux polluées et un soutien insuffisant
Economie bleue de l'UA : l'UE réitère son engagement à lutter contre la corruption, à promouvoir la transparence et la participation de toutes les parties prenantes
Sénégal : Le ministère de la pêche n'octroiera pas de licences aux 54 navires d'origine chinoise et turque
APPD UE-Seychelles : Le rapporteur PECH appelle à plus de transparence et de participation du secteur local de la pêche
Les acteurs de la pêche sénégalaise protestent contre l'intention de son gouvernement de délivrer 54 licences de pêche à des navires chinois et turcs
En pleine crise du Coronavirus, le comité consultatif sénégalais pour l'attribution des licences de pêche a été consulté par courrier électronique. Plusieurs organisations soulèvent des questions de durabilité et avertit que la situation pourrait mettre en danger les moyens de subsistance des communautés de pêche artisanale.
La société civile et les organisations de pêche artisanale réagissent au nouveau protocole de pêche UE-Sénégal
Alors que la proposition est présentée à la commission PECH du Parlement européen et à l'Assemblée nationale sénégalaise, l'APRAPAM et la CAOPA demandent au gouvernement de publier tous les accords d'accès, exigent plus de transparence sur l'utilisation des fonds de soutien sectoriel et expriment leur inquiétude sur l'accès à certains stocks de poissons.
Le Parlement européen se fait l’écho des préoccupations quant au manque de transparence relatif à l’APP et au protocole UE/Maurice : la Délégation de l’UE apporte certaines réponses
Un nouvel accord de partenariat de pêche et son protocole ont été signé entre l’UE et l’Ile Maurice en février 2012. Alors que la ratification définitive de l’accord n’a pas encore eu lieu, des critiques s’élèvent au sujet de cet accord. De nombreuses organisations liées au secteur de la pêche à l’Ile Maurice ont exprimé leurs inquiétudes sur la manière dont les négociations de l’APP et du protocole avec l’UE ont été menées. Elles dénoncent notamment le manque de transparence et de consultation des parties prenantes, ce qui ne serait pas en conformité avec la convention D’Aarhus. La délégation de l’UE a publié un communiqué de presse qui répond partiellement à ces préoccupations. Il est précisé que le syndicat des pêcheurs a bien été consulté comme toutes les parties prenantes à l’Accord. D’autres rencontres avec la Délégation de l’Union européenne à Maurice ont eu lieu avec les organisations de pêcheurs, ainsi qu’une rencontre en acteurs en mai 2012. Elle rappelle par ailleurs que cet accord est un accord commercial et c’est pour cela que certaines informations relatives à l’Etat partenaire doivent rester confidentielles. S’agissant de la question de la surexploitation des ressources, les possibilités de pêche tiennent compte des meilleurs avis scientifiques et des recommandations de gestion qui sont proposées par le Comité Scientifique de la CTOI et le dernier rapport de ce Comité indique qu’aucun des stocks ciblés par la flotte de l’UE n’est en situation de surexploitation. Par ailleurs, elle souligne que l’un des objectifs du Protocole est précisément d’éviter toute interférence des activités de la pêche industrielle avec ceux de la pêche artisanale. Les espèces ciblées que les navires européens sont autorisés à pêcher ne sont pas les espèces qui sont débarquées par la pêche artisanale. Elle insitse enfin sur le fait que le poisson n’est pas bradé à l’UE et que la contrepartie financière doit être destinée à contribuer au développement du secteur de la pêche à Maurice, dans un soucis de gouvernance économique et de durabilité des pêches.
Sources :
Question parlementaire : http://www.europarl.europa.eu/sides...
Communiqué de presse de la Délégation de l’UE à Maurice :http://eeas.europa.eu/delegations/m...
LA CE va publier les évaluations des APP
En réponse aux recommandations de CAPE concernant les évaluations ex ante ex post des APP envoyées fin Mai 2012, la Commission européenne considère que ’dorénavant, tous les rapports seront non classifiés et nous assurerons qu’ils soient largement disséminés, y compris par leur publication sur internet. Les services de la Commission vont également s’efforcer d’assurer que les rapports d’évaluation soient mis à disposition avant l’adoption des mandats de négociation par le Conseil’. Ceci est une demande de longue date de CAPE, et nous nous réjouissons de cette avancée vers plus de transparence.
Néanmoins, nous regrettons que la Commission ne souhaite pas s’engager dans un processus de consultation large de la société civile. En effet, elle estime ’devoir être prudente quant à l’initiation d’un processus de consultation ouverte, car cela changerait la nature de l’évaluation et rendrait le processus largement ’hors de contrôle’.